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Dossier concernant l’Exposition Ensor organisée par la Société de l’Art contemporain à Paris (Paris, Galerie Barbazanges, 01.06. - 15.06.1926) et le prêt consenti par le Musée de deux œuvres du maître, Les masques singuliers (inv. 4194) et Les masques scandalisés (inv. 4190).

La société anversoise de L’Art contemporain / Kunst van Heden a décidé d’organiser annuellement à l’étranger des expositions d’artistes belges afin de mieux faire connaître l’art moderne belge.

Dossier concernant l’Exposition Ferdinand Hodler (MRBAB, 17.05.-17.06.1923) organisée au Musée sous le patronage de la Commission fédérale suisse des beaux-arts.

Hodler est mort en 1918. Pendant la guerre il affichait des sentiments favorables à la cause des Alliés, ce dont se sont gardés beaucoup de ses compatriotes. Il a notamment protesté contre le bombardement de la cathédrale de Reims. Un ensemble important de ses œuvres a été montré au Musée de Berne en 1921. En aout 1922, FG évoque auprès de Frédéric Barbey-Ador, ministre de Suisse en Belgique, la possibilité d’organiser une exposition Hodler au Musée de Bruxelles. Fg comprend cette exposition à la fois comme un hommage à la mémoire du maître et comme un acte de gratitude à l’égard du grand nombre de citoyens suisses qui furent amis dévoués des Alliées et de la Belgique pendant la guerre (FG au premier ministre Theunis, 15.05.1923). C’est donc à lui, à FG, que revient l’initiative bien que l’idée recueille la sympathie de Barbey-Ador. Vient ensuite la question du financement de l’exposition. Côté suisse, les subventions officielles semblent difficiles à trouver et l’on se tourne vers le privé : l’Office du Tourisme suisse promet une intervention qui devait suffire pour les frais d’assurance et pour les frais de transport, on espère les voir pris en charge par les marchands d’art suisses. Barbey parle du projet à Louis Gielly, conservateur du Musée d’art et d’histoire de Genève. FG tentera d’obtenir un subside du Département des sciences et des arts pour couvrir les frais administratif mais il s’attend à des lenteurs. Ses démarches sont à recommencer parce qu’il y a un nouveau ministre [Nolf ?] et que celui-ci n’a pas encore constitué son cabinet (FG à Gielly, 19.10.1922). Par ailleurs c’est FG qui signale à Barbey le nom de Mr Barth, secrétaire général de la Kunsthalle de Bâle, « défenseur des formes les plus intéressantes de l’art contemporain » et homme avec lequel le Musée de Bruxelles entretient les meilleures relations. FG mentionne également à Gielly le nom du Dr Franz Meyer de Zurich dont on lui a dit qu’il était « riche » et qu’il consentirait à quelques sacrifices pour une cause artistique. FG demande ensuite à Gielly comment il conçoit le programme de l’expo. Il y a la place, dit-il, pour une œuvre de caractère monumental et manifeste le souhait de voir une belle représentation des paysages synthétiques et des têtes de la dernière période du maître. Le département fédéral (suisse) de l’Intérieur dit avoir « une très grande estime » pour FG (Chuard à Barbey, 10.11/1922, copie). L’exposition est organisée sous le patronage de la Commission fédérale (suisse) des beaux-arts, représentée à Bruxelles par son président, D. Baud-Bovy. Elle est inaugurée au Musée moderne en présence du ministre Nolf, de Barbey et de Gielly, qui a choisis les tableaux et opéré leur placement dans l’exposition. Barbey émet le vœu de voir s’ouvrir à Bâle, Berne, Genève des expositions d’art belge. L’exposition a été visitée par la Reine. FG tient absolument à ce que des œuvres de Hodler restent en Belgique après l’exposition. Il fait alors quelque chose d’exceptionnel : il écrit, lui, en qualité de conservateur en chef, à ses collègues : Buschman conservateur du musée des beaux-arts d’Anvers et aussi au conservateur du musée des beaux-arts de Gand, pour les prier d’inviter la commission de leur musée à venir visiter l’expo et, sous-entendu, à y faire choix d’œuvres à acheter. Au ministre Nolf il demande d’examiner la possibilité d’acquérir une œuvre pour le Musée de Bruxelles. Mais il y a crise ministérielle et change désavantageux et aucun achat ne se fait. Ce résultat négatif cause une vive déception en Suisse où sévit une forte crise économique. Les établissements Jean Malvaux réalisent 21 clichés photographiques (épreuves bromure noir) de l’exposition. Le dossier contient la correspondance, la liste des œuvres exposées (avec noms des propriétaires et valeurs d’assurance), de nombreux extraits de presse.

Dossier concernant l’Exposition internationale d’Hiver de Budapest en 1908-1909 (Hongrie, Budapest, Palais des beaux-arts, 18.11.1908-15.01.1909).

La Société des beaux-arts de Budapest organise une exposition où sont invités les artistes de deux pays étrangers : la Belgique et la Hollande. En mars 1908 le ministre hongrois du Culte et de l’Instruction publique confie à Fernand Khnopff l’arrangement de la section belge mais des problèmes de santé obligent l’artiste à renoncer à cette mission. C’est alors (en août 1908) vers Fierens-Gevaert que se tourne le ministre. FG sera désigné commissaire général de la section belge mais il est bel et bien le mandataire du ministère hongrois de l’Instruction publique. Il lui faut vaincre certaines oppositions : il refuse de prendre la responsabilité d’une exposition dont il ne pourrait contrôler la mise au point et tient absolument à se rendre en personne à Budapest ou, à son défaut, à y envoyer « un artiste belge partageant ses goûts ». L’exposition est un succès. Les sculpteurs belges y sont particulièrement admirés. Egide Rombaux obtient la médaille d’or pour son œuvre Les filles de Satan. Deux tableaux d’Alfred Stevens figurent à l’exposition mais ne figurent pas au catalogue du fait de leur arrivée tardive. Le dossier contient de nombreuses lettres d’artistes (Jacob Smits, Ensor, Donnay, Morren, Claus, Henry De Groux, Rassenfosse, Victor Rousseau, Montald, G. Minne, Opsomer, Paul Du Bois, G. Dillens, Khnopff, ...) ainsi qu’un extrait de presse.

Dossier concernant l’exposition Jordaens et son atelier (MRBAB, oct.-nov. 1928).

Dossier intéressant quant à la politique menée en matière d’expositions temporaires aux MRBAB (problèmes des charges financières, assurances, ….). Contient le texte d’un article d’Arnold Goffin (extrait de la Revue générale du 15 février 1929) et de nombreux extraits de presse.

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