- BE A4004 FM-II-0516
- File
- 1855
Part of Archives des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ("Fonds Musée")
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Part of Archives des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ("Fonds Musée")
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Le tableau a figuré au salon de Paris de 1847 sous le n° 1819. -> Chercher ce cat. Pour identification titre et nom complet auteur.
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Cuivre, dim. 40 x 25 cm.
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Contient deux notes de la main de Guillaume Claine, garde des bâtiments de l’Ancienne cour. L’une d’elles mentionne le nombre élevé de commissionnaire de place qui accompagne les visiteurs au Musée.
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En avril 1856, Dutrieux informe le ministre qu’il vient de terminer un buste du Roi en pierre de France. Le ministre décide le faire exécuter en marbre pour remplacer le buste par Feyens (inv. 443) qui est conservé au Musée et qu’il trouve médiocre. La CD du Musée engage le ministre à d’abord faire exécuter un buste en plâtre par Dutrieux. Le plâtre est exécuté et est exposé au salon de 1857 sous le n° 383. Il est présenté à la CD du Musée qui recommande quelques modifications au cas où le ministre déciderait de le faire exécuter en marbre. Le gouvernement commande le marbre en 1858. Le buste en marbre blanc est déposé au Musée vers mars 1859.
Quant au buste en marbre de SAR le duc de Brabant : en avril 1856 il est déposé dans l’une des salles de l’Ancienne Cour (mais pas au Musée) et le ministre désire le mettre à la disposition de la CD du Musée pour servir de pendant au buste du roi. La CD accepte avec empressement.
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Héris écrit que ce portrait est, à peu de chose près, semblable à celui de la vente Schamps, que c’était, avec un Raphaël qui s’est vendu 15.000 fr, l’un des deux plus beaux tableaux de la vente. Il a avancé le montant de l’achat (1850 fr / 1951 fr avec frais) mais il envoie la quittance à Navez et demande que l’on rembourse le montant à sa femme. Il écrit aussi qu’il y avait pour ce tableau (qu’il croit vraiment être de Velasquez) un certificat d’origine qu’on n’a pas voulu lui délivrer parce qu’il comprenait d’autres tableaux de la collection, mais il veillera à en faire suivre une copie. La commission a été prévenue tardivement de la vente de sorte que l’autorisation du ministre n’a pu être sollicitée auparavant. L’acquisition est présentée comme très intéressante pour le musée de l’Etat qui ne possédait jusque-là aucun ouvrage de mérite représentant les traits de l’illustre chef de l’ecole flamande. Héris fait de la restauration et vient de terminer un petit tableau de Wijnants. « On ne saurait être restaurateur de tableaux sans être connaisseur ». Contient un extrait de presse (Le Télégraphe, Bruxelles, du 17/05/1856).
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Le peintre Vervloet, au sujet d’un tableau offert en don par lui au Musée en 1826, regrette que le tableau ne porte pas la mention de cette donation « comme cela se pratique ordinairement ». Il demande aussi pour son tableau un cadre plus convenable et l’autorisation de le nettoyer lui-même. La CD commande un nouveau cadre portant l’inscription demandée et autorise le peintre à apporter à son tableau les soins nécessaires.
Le dossier contient une lettre autographe du peintre François Vervloet.