L’artiste est vivant et la dépense doit donc être imputée sur les crédits du Département. Mais c’est bien la section d’art moderne de la Commission directrice qui a manœuvré pour que l’acquisition se fasse. Avant cela, le Musée avait déjà tenté d’... »
L’artiste est vivant et la dépense doit donc être imputée sur les crédits du Département. Mais c’est bien la section d’art moderne de la Commission directrice qui a manœuvré pour que l’acquisition se fasse. Avant cela, le Musée avait déjà tenté d’acquérir une autre nature morte d’Ensor, Le canard mort à la vente E. B[urthoul] à Bruxelles ou encore La femme en détresse d’Ensor de la collection Paul Desmeth. Il existe de La raie trois versions qui furent toutes exposées en 1921 à L’Art contemporain à Anvers : celle de la collection Burthoul, la plus belle, date de 1892.
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