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Archief van de Koninklijke Musea voor Schone Kunsten van België
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Série (organique) de registres des procès-verbaux des instances collégiales statutaires

Registres des procès-verbaux des organes ou instances de décision des Musées depuis l'origine. Les procès-verbaux couvrent donc les périodes correspondant aux sous-fonds FM I, FM II et FM III, et complètent ces derniers.
Ces documents fournissent un excellent aperçu de l'histoire et de la politique muséale; y sont discutés tous les dossiers liés à la gestion du musée proprement dit (bâtiments, administration, personnel...) et de ses collections. Ils reflètent les relations avec l'Autorité ministérielle, éclairent les nombreuses évolutions des espaces d'exposition, en plein cœur de Bruxelles, souvent liées à d'autres grands chantiers tels celui du Monts-des-Arts), la politique d'acquisition des Musées, ses relations avec le public...
Il est intéressant de noter d'ailleurs que les Musées ne vivent pas en monde clos: les membres des différentes commissions administratives sont souvent des artistes (on peut citer par exemple François-Joseph Navez, Louis Gallait, Jean Portaels, Eugène Verboeckhoven, Emile Wauters, Xavier Mellery, Léon Frédéric, Isidore Opsomer...) ou des personnages de la scène politique et culturelle de l'époque (Charles-Léon Cardon, Henry Carton de Wiart ...).

Registre des cartes d'études [délivrées pour copie ou reproduction d'oeuvre(s)]

Le registre des cartes d'études délivrées aux copistes a été introduit, comme le système d'enregistrement dit "Agenda" pour la correspondance et les dossiers administratifs des Musées, par Victor Stiénon, nommé Secrétaire par le ministre de l'Intérieur après le rachat du musée par l'Etat belge en 1843.
On y trouve par ordre chronologique d'enregistrement la liste des copistes à qui a été délivrée une carte d'étude - soit l'autorisation, pour une période déterminée variable, de copier une ou plusieurs oeuvres du musée. L'usage du registre a été remplacé à partir de 1903 par un système de fiches, similaire dans son fonctionnement.
Les enregistrements sont numérotés de 1 à 4147, non sans erreurs ou omissions. A ces numéros correspondent les cartes d'études délivrées, et, dans un certain nombre de cas, un dossier comprenant la correspondance ou autres documents en lien avec la demande. Ces numéros ne sont cependant pas significatifs du nombre de copistes ayant travaillé au musée, car un même copiste, s'il demandait une nouvelle carte, pouvait faire l'objet d'un nouvel enregistrement ou voir sa carte précédente prolongée.
Le registre comprend cinq colonnes. Dans la première, on inscrivait le numéro d'enregistrement; dans la deuxième, le nom du copiste, souvent complété par son prénom et son lieu de naissance; puis venaient l'adresse du domicile ou du lieu de séjour à Bruxelles du copiste, la date de délivrance de la carte d'études, et la signature du copiste. On trouve de temps à autres des indications supplémentaires telles par exemple la date de renouvellement de la carte ou le fait que la demande concerne une reproduction photographique.

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